Après quelques années de pratique, je pense que l’on offre une meilleure qualité d’écoute et de présence à celles et ceux qui se situent à l’interaction de nos intérêts et notre expérience clinique.
C’est pourquoi je reçois, de préférence, des adolescent.e.s et adultes ayant une forte sensibilité artistique, mais qui souffrent de dépression, de troubles anxieux et alimentaires, lesquels sont autant de facteurs de vulnérabilité invisibles ; et je prête volontiers mon oreille aux personnes qui ont connu des antécédents de violences, lesquels impactent leurs choix affectifs et professionnels ainsi que leur estime d’eux-mêmes.